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« Aila et la Magie des fées » – de Catherine Boullery

« Aila et la Magie des fées » est la magnifique histoire d’une jeune fille pas comme les autres… J’ai découvert avec ce roman, le premier de la série, la superbe plume de Catherine Boullery : une écriture ciselée, soucieuse du détail, une analyse fouillée des sentiments, une plongée au plus profond des émotions des personnages…

Aila est une jeune fille exceptionnelle qui arrive à transformer ses souffrances en source d’admiration et joie pour les autres, ses épreuves en autant de défis à relever, ses regrets en autant d’amour à donner aux autres… Une lecture pleine d’enseignements…

C’est une série pour tous les âges et même ceux qui ne lisent pas ce genre de littérature seront conquis par le talent de l’auteure qui arrive à nous donner l’envie d’accompagner Aila sur son chemin.

A découvrir sans hésitation !!!

« Au seuil de l’instant » – de Christine Béchar

« Au seuil de l’instant » de Christine Béchar est une très belle découverte 🙂

Au début de ma lecture je ne pensais pas avoir le coup de foudre pour ce livre… Mais ne vous fiez pas au début et ayez la patience de continuer pour vous laisser la chance d’être surpris(e)!

L’auteure sait très bien doser la révélation de son intrigue et l’histoire nous captive assez rapidement.

C’est l’histoire d’un flirt… mais qui n’en est pas un, l’histoire d’un amour qu’on ne sait trop définir, l’histoire de deux êtres si différents et si semblables au fond…

Découvrir l’histoire de Patrick et Nathalie permettra à une partie d’entre vous de vous poser plein de questions sur vous-même, sur vos pensées ou principes, croyances ou convictions… Une occasion aussi peut-être d’utiliser ce livre comme un miroir pour contempler sa propre vie, ses réactions, ses a-priori ou ses jugements…

C’est un roman profond si on se laisse plonger au-delà de la surface des paroles et des scènes…

Un beau roman à découvrir!!!

« Réveils à la vie » – de Patricia Mayer

CONSEIL DE LECTURE: découvrez un roman hors-norme

Vous avez certainement lu des romans où le héros survit à un terrible accident? Ce nouveau roman nous plonge dans la tête – et les pensées – d’une survivante.

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Entrez dans la vie et les pensées de Clara, une femme qui se transforme petit à petit suite à un accident qui a failli la tuer. Elle réalise tous les bonheurs simples et spontanés à côté desquels elle passait avant par peur de “faire ce qui ne se fait pas”. Elle se réveille…

Découvrez un épisode de cette transformation qui prend vie au fil des pages. Une occasion pour chacun de se remettre en question ou bien de réaliser que le temps est important, tout comme se trouver soi-même.

Petit extrait du livre :

« « J’ai du mal à ouvrir les yeux … Qu’est-ce qui se passe? »

J’essaie péniblement de lever mes paupières, mais elles restent collées malgré mes efforts surhumains pour les entrouvrir. J’ai la tête qui bourdonne. Elle est lourde et on dirait que quelqu’un vient d’y couler du plomb. C’est un effort incroyable… Mais… Rien. Je sens que je suis couchée. Oui, c’est ça. Mais pourquoi? J’ai dormi?

Inspiration. Expiration. Bon, ben… je respire, c’est déjà ça!

Quoi encore? Ah oui, les draps sont… doux. C’est chouette ça, j’aime les draps doux! J’adore faire l’amour dans des draps doux! Mais bon, pas pour cette fois visiblement. Je me sens plutôt cassée en mille morceaux…

Je sens que je suis dans une pièce. Grande, car les sons me parviennent comme lorsque j’étais petite dans la ferme de mes grands-parents, en Dordogne. Oui, c’est ça!

« La vache, pourquoi je n’arrive pas à lever ces putains de paupières, moi? »

– Appelez une infirmière, elle bouge ses yeux, là, vite!! Clara, tu m’entends?!

« Pourquoi on me secoue comme ça? Je suis fatiguée, moi… Qu’on me laisse un peu là, au fond de ma piscine… »

Je reconnais cette voix. Une sensation de bonheur, de quiétude… D’amour. Je sais qui prononce ces mots. C’est Christophe, mon compagnon. Mon cher et tendre amour… Il est là. Forcément, il est toujours là, le pauvre! Attends, Christophe, j’arrive, il faut que je remonte… à la surface… de ma piscine.

Donc c’est logique, c’est clair : je dois  être à l’hôpital. Il a dû m’arriver quelque chose. Quelque chose de grave.

« Merde alors! Mais quoi? Pourquoi suis-je à l’hôpital? D’habitude je fais toujours attention! Clara la parano c’est moi!!  »

Et puis ça y est, tout commence à s’enchaîner et à s’accélérer : on me tire une paupière, et un éclair lumineux me perfore le crâne, me balaye la rétine. Et puis l’autre paupière… ça fait un peu mal, comme une sensation de brûlure aiguë. Ouf, c’est passé!

Les couleurs commencent à apparaître, par contre les voix s’atténuent, je ne comprends pas. Mon cerveau n’arrive pas à suivre et tous les mots se mélangent… comment je les mets en ordre, moi? Et puis il y a plusieurs voix… Je ne reconnais que celle de Christophe. J’essaye de me concentrer sur sa voix pour tenter de comprendre ce qu’il dit… »

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« Comment construire une relation saine et durable »

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6. Fixer des étapes

Une fois que vous comprenez l’importance du temps et surtout que vous réalisez qu’en réalité « vous n’avez pas tout le temps… », alors vous allez toute de suite sentir le besoin de fixer des étapes dans le temps.

Pour pouvoir faire cela encore faut-il connaître ces étapes… Et d’ailleurs de quelles étapes je parle ? Je parle des étapes nécessaires à la réalisation d’une construction. Il est vrai que vous ne pouvez pas connaitre dès le départ toutes les étapes d’une construction, car comme je le disais au début de ce récit, la construction d’une relation dure aussi longtemps que la relation. Si vous souhaitez donc construire une relation pour toute la vie, sachez, dès le départ, que cette construction durera toute la vie. Pas la peine de s’imaginer un travail de Sisyphe, car la construction comporte des étapes intenses suivies, si vous avez bien construit, d’étapes de relâche et de bonheur durant lesquelles vous bénéficiez de tous les efforts déposés dans les étapes précédentes.

La construction comporte donc de grandes étapes :

  • la connaissance de soi,
  • la connaissance de l’Autre,
  • l’harmonisation des différences (qui ne veut absolument pas dire leur effacement et encore moins leur ignorance),
  • la construction de projets ensemble,
  • la vie de tous les jours,
  • l’organisation des vacances,
  • les rêves de chacun d’entre vous,
  • les attentes, les désirs, le partage des sentiments, des pensées…

Je sais que certaines de ces étapes vont vous sembler un peu incongrues, surtout mises à côté d’autres. Cette sensation est due à la différence de profondeur qu’on pense que ces étapes ont. Vous estimez peut-être que la vie de tous les jours ne peut pas supposer le même type de construction que la connaissance de l’Autre. Et vous aurez en partie raison. Comment mieux connaitre l’Autre qu’en vivant tous les jours avec ?

Le passé a beaucoup d’importance. La connaissance du passé d’une personne nous permet de mieux comprendre cette personne. Beaucoup d’entre nous ont peur de partager leur passé ou certains faits de leur passé. C’est la peur d’être jugé(e), mal interprété(e), mal aimé(e) finalement… Détrompez-vous ! Une personne qui vous aime vraiment prendra le temps de comprendre votre passé. Elle vous jugera peut-être trop vite, vous allez être blessé(e) par des fausses interprétations, je ne vais pas vous mentir là-dessus. La construction passe aussi par la souffrance. Il suffit de maîtriser cette souffrance en se rappelant en permanence vos étapes et surtout votre but : la construction d’une relation. Le fait de vous rappeler cela vous permettra de vivre mieux votre souffrance, de vous mettre plus facilement à la place de l’Autre afin de comprendre pourquoi il vous a blessé(e) (car la plupart du temps quand on blesse notre partenaire on ne le fait pas exprès ou au moins on pense cela !) et surtout d’expliquer à l’Autre ce que vous avez ressenti pour lui permettre de réaliser ce qui vous a blessé… »

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« Comment construire une relation saine et durable »

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« 5. L’importance du temps

La construction d’une relation est comme le début d’un voyage : pleine d’attentes, d’impatience, d’incertitudes, de passion, de peurs, d’agitation, d’inconnues.

Il est difficile, voire impossible de construire « au hasard ». La construction est un processus qui doit se faire de manière consciente sinon il ne s’agit pas d’une véritable construction, mais seulement d’une « coexistence » : vivre ensemble ou l’un à côté de l’autre. Conscientiser le processus signifie d’abord comprendre ce qu’on souhaite vraiment construire avec cette personne. Lire la suite « Comment construire une relation saine et durable »

Comment construire une relation saine et durable ? d’Amour ou d’Amitié

En général, je ne me livre pas à l’exercice qui consiste à encenser les membres de ma famille pour leurs réalisations qui me semblent hors du commun.

Ma première attitude serait celle de retrait, de me dire « cela ne se fait pas » et donc de me rendre coupable d’une double erreur : celle qui consiste à me refuser le droit d’être sincèrement heureux et l’autre – beaucoup plus grave à mon avis car elle constitue un « dommage collatéral » – de ne pas insuffler de l’énergie positive à la personne faisant l’objet de mon admiration pour tel fait ou tel acte. L’énergie positive du respect, de la gratitude et de l’amour qui aide tout un chacun.

Se refuser ainsi de se réjouir pour l’Autre est une erreur. Majeure. Il faut savoir reconnaître le plus objectivement possible ce qui a été « bien fait » et féliciter celui ou celle qui en sont l’auteur ou le créateur. Comme tout dans la vie, il faut ne pas tomber dans l’excès : faire des louanges pour n’importe quel truc est préjudiciable car cela fausse la réalité des choses et induit chez l’Autre une fausse impression de confiance et de maîtrise du sujet qui lui faudra payer cher, tôt ou tard. De même, préférer une attitude confinant à l’indifférence est éminemment destructeur, surtout lorsqu’on élève un enfant. C’est la même chose pour la personne qui fait l’objet de votre amour ou de votre amitié. Il faut donc trouver l’équilibre subtil que nous indique notre conscience et surtout les réactions de l’Autre, c’est le meilleur « thermomètre » ou indicateur en la matière, qui permet de calibrer notre attitude et de nous « aligner », comme le dit Cristina.

Cette introduction peut vous paraître un peu longue et pénible, mais cette précaution scripturale m’a paru nécessaire dans le cas précis qui fait l’objet de cet article, c’est-à-dire la parution du dernier livre de Cristina, ma femme. En effet, je ne peux pas être le plus « objectif » en ce qui concerne le travail de celle qui partage ma vie, mes joies et mes peines, non ? C’est du moins ce que dit la sagesse populaire et la loi dans certains cas.

Et pourtant, je voudrais vous dire qu’objectivement – c’est-à-dire après analyse et critique de son travail – je suis très impressionné par le résultat. À tel point que je vais m’en faire un de mes livres de chevet : ceux que je relis de temps en temps pour me replonger l’esprit dans un univers rassurant qui m’offre des repères et m’aide à aller de l’avant. Rien que ça. Et pas parce que c’est ma femme, en effet ses romans précédents me plaisent, mais n’ont pas la clarté, la force et la puissance de ce dernier opus qui pour elle fut une révolution en matière d’écriture et surtout d’exposition – de « vulgarisation » – de sa pensée.

Pour tout vous dire, j’ai VOULU que ce premier « guide pratique » des « chemins vers soi-même » voie le jour, je suis son « papa ». Mais comme toute grossesse, ce sont les mamans qui font tout le « travail », alors tout le mérite lui revient !!

Je vis aux côtés de Cristina depuis ses vingt ans, je la connais depuis qu’elle en avait dix-sept et qu’elle était une adolescente « anguleuse » et difficile à aborder : exigeante et « dure ». Mais quelque chose m’attirait puissamment en elle – en dehors du fait que c’est une très belle femme – une sorte de volonté profonde, sourde, fascinante, qui « suintait » d’elle et me poussait à continuer avec elle en dépit de tous les « problèmes » que cette relation naissante allait causer et que nous avons affrontés à deux.

Je l’ai vue se métamorphoser en étudiante devant affronter le système français si différent de celui de son pays, en jeune épouse devant lutter contre mes peurs, mes lâchetés et maladresses, en statisticienne, directrice de maison d’édition, contrôleuse de gestion, en maman, facilitatrice d’événements de team building, constructrice de parc d’aventures, etc… En même temps qu’elle devait s’adapter aux nouvelles situations professionnelles et personnelles, elle a su développer une résilience hors du commun et surtout rester fidèle à elle-même tout en changeant continuellement.

Comment est-ce qu’un tel paradoxe est possible ? C’est parce que c’est un paradoxe uniquement sur le papier : Cristina a réussi à faire évoluer son système philosophique, son regard sur le monde et sur les autres tout en menant une analyse constante et très précise de ses ressentis, des possibilités et des potentialités de ce qui se passe autour d’elle. En dehors de toute tradition ou système de pensée en vogue, elle a su développer en elle-même et par elle-même une vision, une pensée, une véritable « philosophie » qu’elle a patiemment mises à l’épreuve de la vie et qui font qu’aujourd’hui elle ait pu réaliser beaucoup de ses rêves et que – comme « dégât collatéral » – je sois un des hommes les plus heureux du monde et que je ne cesse de me dire que le « oui » prononcé le 15 mai 1993 fut la MEILLEURE décision de ma vie.

J’ai eu très tôt la conviction profonde que Cristina ne pouvait pas appartenir « qu’à moi ». J’ai eu du mal à décoder ce sentiment un peu inexplicable : je pensais qu’elle devait faire de la politique pour aider son pays d’origine, ou accéder à de hautes fonctions qui lui permettraient d’influer positivement les choses. C’était une ambition mal placée, une erreur fondamentale, une méconnaissance de ce qui anime cette femme et qui est – fondamentalement et simplement – la « bonté », la gentillesse. Et pas forcément l’altruisme dans le sens de faire quelques fois le bonheur des autres (aux « masses ») sans qu’ils le demandent vraiment. Je me trompais jusqu’à ce que je comprenne au bout de nombreuses années qu’elle pouvait aider les gens (individuellement et personnellement) au mieux en mettant par écrit ses idées, ses expériences, sa vision de la vie et des relations interpersonnelles. Ainsi, celles et ceux qui voulaient trouver des réponses pourraient facilement y accéder s’ils le veulent.

Cet ouvrage court est cependant un travail de titan car elle a dû faire un effort de concision, ciseler ses phrases et ses exemples, poser des questions pour aider ses lecteurs et lectrices. J’y ai appris personnellement des choses qui m’étaient consciemment inconnues et ai pu redécouvrir la simplicité et la clarté de ses « enseignements ».

Alors voilà, on peut considérer que ces quelques lignes sont celles d’un amoureux transi aveuglé par l’admiration. Considérez simplement que j’ai quarante-et-un an, que je suis le premier à critiquer – parfois durement – le travail de Cristina, et que j’ai forgé mon amour et mon admiration pour elle sur des faits qui désormais s’étalent sur un quart de siècle. Alors je n’ai pas peur de dire que ce bouquin peut changer votre vision sur la construction d’une relation d’amour ou d’amitié : vous verrez que votre cerveau, votre rationalité et votre esprit d’analyse une fois correctement entraînés vous permettront d’avoir une relation « saine et durable ».

Vous pourrez trouver ce livre ici. Bonne lecture !

« Comment construire une relation saine et durable? »

C’est le titre d’un livre que j’essaie d’écrire depuis quelque temps. C’est un livre qui se veut « pratique » car il répond concrètement aux questions que l’on se pose sur la méthode à suivre pour construire une relation saine et durable.

J’ai commencé à l’écrire il y a quelques mois et j’avoue que j’ai dû le laisser « reposer » de temps en temps. C’est un livre que je n’écris pas pour moi, mais pour essayer d’aider les autres. J’avoue que ce ne fut pas du tout mon initiative, car en étant très pragmatique et concrète, je préfère appliquer les choses que je connais, que j’ai découvertes ou que j’apprends en permanence sur moi-même, sur les autres, sur les rapports qui nous régissent, sur la nature humaine, sur la connaissance de soi, etc. Lire la suite « Comment construire une relation saine et durable? »

Petit plaidoyer sur la vérité

verite « De toute manière elle était convaincue que la vérité, peu importe le domaine, finissait toujours par remonter à la surface des eaux troubles de l’illusion et des mensonges. Tout était question de temps. »

« Elle leur disait la vérité sur-le-champ pour se « débarrasser » au plus vite des châtiments ou sanctions que ses parents lui infligeaient. Elle ne savait pas ce qu’était un élève moyen – elle se devait d’être la première depuis qu’elle avait eu sept ans et qu’elle était entrée en primaire. Son imagination retraça le chemin qu’elle prenait tous les jours à 7h30 pour aller à l’école. La clé de la maison autour du cou, le petit sandwiche que sa mère lui préparait tous les matins et qu’elle rangeait dans son cartable. Elle partait seule en slalomant parmi les grands immeubles gris de son quartier. Elle changeait souvent son itinéraire pour trouver le plus court, mais c’était toujours la même distance. Toutefois elle était convaincue de le raccourcir à chaque fois. Elle se rappela les premières heures de « P.T.A.P. » : une matière obligatoire dans l’enseignement scolaire à partir de onze ans. La  « Préparation de la Jeunesse pour la Défense de la Patrie » en était la traduction exacte. Les enfants devaient faire des exercices militaires, apprendre la composition des armées, les grades, les différents types d’armes et plus tard différentes tactiques de défense. À son âge, Marie le prenait comme un jeu, comme tous ses camarades. Leur joie d’alors était de porter leur uniforme, différent de celui qu’ils avaient en classe : s’habiller dans l’uniforme bleu avec le béret de la même couleur était une petite fête ! « 

Extraits de « Rouge », un roman d’action qui vous plongera dans le quotidien dramatique d’un peuple écrasé par l’absurdité d’un régime communiste vacillant entre idéal et cauchemar.

RougeROUGE – « Les empreintes du communisme », tome 1
par Cristina Rebière

Les Roumains des années 80, tiraillés entre liberté de penser et endoctrinement tentent de survivre dans cette folie organisée où l’individu doit disparaître au profit d’un système qui le surveille et le contrôle sans relâche. Mus par un espoir éperdu, certains feront le choix de suivre le spectre de la liberté qui leur réclamera le prix fort.
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L’amour c’est (aussi) des maths… #1

Ca y est : maintenant vous le savez, vous pouvez le sentir dans vos tripes ! Cette fois, c’est LA BONNE : cette personne est trop géniale, vous la kiffez trop et vous n’arrêtez pas de penser à elle ou lui, vous aimez vraiment, profondément et complètement cette personne !
Et donc, après une approche délicate, un petit « flirt » et plusieurs rendez-vous, cette personne vous répond positivement et vous êtes tous les deux désireux de construire une relation solide : que ce soit amour ou amitié – pour moi c’est pratiquement la même chose lorsque l’on parle de sentiments… Lire la suite L’amour c’est (aussi) des maths… #1

Petit prologue sur l’amitié…

Je vous disais dans un de mes anciens articles qu’un jour je vous parlerai de l’amitié… Ce n’est pas un sujet trop facile car j’essaye de penser depuis plusieurs jours par quoi commencer et j’ai du mal à me décider… Lire la suite Petit prologue sur l’amitié…

« Ca va ?» ou « How are you ? »… entre sémantique et sentiments

Voilà deux formules que j’ai du mal à comprendre car leur sens simple ne fait plus aujourd’hui qu’encourager le formalisme et l’éloignement…

Cela fait bien longtemps que j’essaye de m’expliquer et d’assimiler cette formule entendue à tout bout de champ en France… entre amis, entre collègues, entre voisins, entre inconnus… « ça va ? ».

Je me suis longtemps demandé s’il s’agissait d’un remplaçant du salut « bonjour » car il est souvent dit avec le même ton, même si l’intonation est celle d’une question… une question qui n’attend pas, le plus souvent, de réponse. Ou en tout cas pas LA réponse à la question. S’agit-il donc d’un salut ? D’une formule de politesse ? D’une coutume verbale ? Lire la suite « Ca va ?» ou « How are you ? »… entre sémantique et sentiments